20/08/16

La conjecture de Goldbach

« Tout nombre entier pair supérieur à 3 peut s’écrire comme la somme de deux nombres premiers. »

 

Le chapitre précédent a montré l’origine de notre numération, en élargissant notre vision « relative »…

La conjoncture utilise des termes qui nous semblent évidents.

Ils sont basés sur des concepts mathématiques que notre habitude nous empêche de remettre en cause.

Je les redéfinis à partir d’une vision nouvelle :

Qu’est ce qu’un nombre ?

Qu’est ce qu’un nombre pair ?

Qu’est ce qu’un nombre premier ?

Qu’est ce qu’une somme ?

A partir de cette « vision originale » ou « original vision », j’en ferai une démonstration « première » ou protomathématique.

C’est  la présentation originale  des résultats de l’étude protomathématique que j’ai développée dans mes chapitres .

 

o   Un NOMBRE

Le nombre peut être vu comme un contenant avec son contenu.

Exemple :

Dans leur contenant les points sont liés par des relations que je symbolise ici par des segments

Ici, par exemple, pour 7 points, chacun se lie aux autres et établit 6 relations 

Chaque point d’un nombre n établira ainsi (n-1) relations avec les autres 

Il y a donc 7 x 6 = 42 relations entre les 7 points ou plus généralement n(n-1) relations

Sur le schéma on n’en voit que la moitié !… car ces relations sont doubles : ce sont des relations réciproques 

Il est en mathématique , une formule qui donne le nombre de « combinaisons » entre n points 2 à 2 :

 C2n= n(n-1)/2 elle donne le nombre des traits visibles de la figure (ici 21= 7x6/2 )

La nature de réciprocité du lien est supprimée par cette division par 2.

 

Pour le nombre A ci dessus il y a a (a-1) relations = (a2 –a)  et a points dans le  contenant

 

 La représentation symbolique du Nombre   peut alors prendre une autre forme :

- Le nombre de liens dans A est (a2 – a)

                - La boucle A , contenant  est une corde formée par a morceaux reliés par a nœuds-points

On enlève a points-nœuds-liens  des  (a2 – a) liens-relations, il en reste a2 dans le contenant, lui même formé par a liens-points

Le nombre  A est à la fois représenté par a (contenant) et par a2 (contenu)

Le choix de nos représentations va construire nos mathématiques et notre vision du monde.

 

         -La Spirale des Nombres

Des visions différentes peuvent exister en même temps ( nous connaissons cela en physique, vision classique et quantique ne s’excluent pas)

On peut voir les nombres enroulés sur une spirale unique :

 

La Corde Unique s’enroule…

Elle va former la suite des nombres…

Après la première boucle à un morceau, se forme la boucle à 2 morceaux…

Elles se rencontrent en un point… qui devient le Point UN de la Boucle UN… qui manquait ! C’est le Point Origine

La Boucle 2 a 2 points (dont le point Origine) donc 2-1points =1 point

La Boucle 3 a 3 points (dont le point Origine) donc 3-1points =2 points

La Boucle 4 a 4 points (dont le point Origine) donc 4-1points =3 points

 

La Boucle n a n points (dont le point Origine) donc n-1points 

Le point origine est le lien de chacun des nombres 

Le lien commun à chacune des boucles , semble manquer sur chacune d’elle.

Le lien apparaitra toujours comme un manque , je rapprocherais ce lien de l’énergie de liaison en chimie ( «  manque » représenté par le signe « négatif »)

 

-Le Nombre comme Boucle

On trouve chaque nombre comme spire de la spirale

Le nombre peut donc être représenté par une boucle 

La boucle contient chacun des nombres de la série 1,2,3..N .

 La boucle tracée comme « continue », est ainsi « quantifiée » par les nombres –points qui la constituent.

C’est « la réciprocité continu-quantifié »

 

La spirale établit que  la Boucle N, fermée, a N-1 points : c’est donc que les 3 points N ,0, 1 sont confondus (3 en 1)

On peut aussi voir Fin et Commencement , liés au point O-origine, et ce lien les fait disparaitre.

         Ce principe est le secret paradoxal de toute boucle fermée :

 

1-     boucle fermée

2-     Quand on ouvre la boucle 2 points ou 2 extrémités apparaissent.

3-     Si on recolle les 2 extrémités par un point « Glue », les extrémités  disparaissent.

4-     On peut ouvrir la boucle en tout point.

Chaque point de la boucle peut être considéré comme un point Glue G . Ce point G  est une paire de points qui se libèrent à l’ouverture.

Problème - paradoxe : comment compter les points de la boucle ? Quelle est la dimension du point ?

La suite de Fibonacci  qui s’explique par ce principe, m’a permis de voir le paradoxe du  Cercle : la valeur non-finie de p montre que la courbe ne peut être fermée !

 La condition pour que le Cercle se boucle parfaitement, permet d’établir «la théorie de la réciprocité ».

En voici une simple expression :

« Chaque UN est 2, et les deux ne sont qu’UN »

-Les 2 sens

A partir de l’origine, les mathématiques utilisent les nombres positifs et les nombres négatifs

Pour une boucle, on pourra considérer 2 sens de parcours :

C’est la boucle vue à l’endroit ou à l’envers, ou les 2 à la fois.

Il y aura ici 5 points confondus (5 en 1).

On peut en donner une représentation en faisant intervenir ce point unique de retournement : un TWIST

-« Le TWIST original »

A l’origine, un point  TWIST, qui transforme la boucle en boucle de Möbius

       

Le double sens est sens unique, mais il peut se voir dans l’autre sens !

cle

On représente alors une paire de boucles de Möbius.

Remarque : le TWIST peut se voir en tout point de la Boucle . Chaque point peut être considéré comme Origine et Fin.

o   NOMBRE PAIR

-Il est représenté par le symbole 2N, et orienté comme la suite numérique  1,2,3,4…

 

Quand on utilise les 2 sens :

On voit le nombre 2N , nombre pair, comme « complétude du nombre N ».  Le nombre N est formé de 2 réciproques inséparables

Utiliser les 2 sens , c’est voir la présence d’un lien invisible qui unit les « réciproques » et permet le changement de sens : c’est le TWIST de l’Origine .

 

« Le TWIST original » permet de donner la représentation de complétude du Nombre :

2N est complétude du Nombre N, mais N = 1 (réciprocité continu-quantifié : N confondu à 1 sur la boucle)  et N=N2 (réciprocité contenu-contenant)      

o   Nombres premiers

Les nombres premiers sont dévoilés par « le crible paradoxal » de la suite des nombres twists que découvre la théorie de la réciprocité .

Les nombres premiers sont alors vus comme un ensemble de sinusoïdes :

Chacune a une onde réciproque.

La somme de 2 ondes réciproques  est « nulle » :  les 2 ondes, parcourues en sens inverse, sont déphasées de p

Les  nombres premiers sont alors représentation de « ZERO »                                                                         

 

Les ondes sont une représentation en mouvement, dans le temps.

On peut aussi représenter les nombres premiers par le système des boucles. 

Chaque boucle est  « contenant  d’une onde première » : diamètre de la boucle//période de la sinusoïde

Je ne peux écrire « = »… la Boucle n’existe que hors du temps !

J’ai montré que le cercle n’est pas une Boucle dans notre temps, celui des mathématiques . Il est « protomathématique », antérieur au temps…

La réciprocité BOUCLE//sinusoïde traduirait  alors la «  réciprocité Espace//Temps » 

Ces « Boucles Premières » , liens qui nous semblent des manques sont des « boucles-ZERO »

 

-Si on considère le nombre pair décrit ci-dessus, il peut être formé Boucle ou fermé en boucle, si on ajoute 2 liens :

Les liens seront des Boucles Premières :

Ainsi le nombre pair  2N  se forme par le lien avec 2 nombres premiers  P :

C’est la traduction ou démonstration de la conjecture de Goldbach,  au « niveau premier », celui de l’Origine

 

La somme « + » rencontrée à notre niveau relatif, comme l’égalité « = »  , contiennent toute la complétude de l’Origine  qu’elles ne peuvent traduire…

   … et paradoxalement c’est tout ce quI fait la BEAUTE des mathématiques

 

Voici une « image protomathématique  ou magie( !) », représentation  de la conjecture de Goldbach :

On y reconnait la complétude du nombre N, ou le nombre pair 2N, formant un lien de réciprocité  avec 2 nombres premiers

Les couleurs que j’utilise ici, sont en cohérence avec toute la théorie.

(Le schéma n’est qu’une autre interprétation de la Cohérence qui s’est construite aussi avec les parties « métaphysique » et « physique »  de la théorie.)

Je peux représenter ces liens par la forme plus simple de  « l’Eclaireur »

-Matrice et Eclaireur

Dans la vision de l’origine, « vision originale », nous avons montré que :

Tout Nombre N est 1

Tout Nombre premier P est 0

La conjoncture de Goldbach se justifie dans la réciprocité Matrice-Eclaireur.

 

-Le double réseau

C’est le lien du Relatif-Absolu :

               -nos nombres appartiennent à notre monde relatif

               -les nombres premiers appartiendraient à l’Origine que j’appelle Absolu

LE LIEN ORIGINE-Matrice décrit « la réciprocité  perpendiculaire » des 2 réseaux

Réciprocité perpendiculaire des 2 réseaux Relatif-Absolu

Remarque : j’ai complété un schéma tracé  en 2010 à partir des nombres twists, mais qui avait évolué si vite dans toute une série de schémas, que je n’avais pu en retrouver le sens pour rédiger un texte pour un chapitre qui s’appellerait « générateur-transformateur »

 

o   Qu’est ce qu’une somme ?

La Somme  « protomathématique » , est une somme-inclusion .

J’ai rencontré cette inclusion : chaque niveau ou couche électronique incluant les précédents pour expliquer l’intrication des orbitales s,p,d,f des atomes et  l’ai utilisée dans les chapitres précédents

Cette inclusion est aussi « superposition » dans le sens quantique du terme : « tous les états existent à la fois »… et leurs inclusions s’ajoutent dans la participation au Tout UN

La Somme est Complétude

 

Conséquence : Il existe un état de complétude que symbolise ici le TOUT-Nombre = 1 (somme-inclusion de toutes les boucles nombres : la spirale unique  qui est double si l’on considère les positifs et les négatifs)

                            Le TOUT-Premier = 0 (somme –inclusion de toutes les Boucles Premières) apparait comme une onde qui  manque   : c’est le LIEN paradoxal  du TOUT… avec RIEN … qui ne peut exister hors du TOUT !...

C’est le paradoxe du GRAND CONTENANT 

Il est peut être difficile de saisir ce dernier paradoxe, pour moi évident ici .

 Le Grand Contenant qu’oublient les mathématiques était indispensable à la construction protomathématique  de «  la théorie de la réciprocité ».

 

o   QU’EST  CE QU’UNE BOUCLE ?

Elle se caractérise par sa paradoxale non existence dans notre temps… le Cercle n’existe pas comme Boucle (fermée)

Le temps est la destruction de la BOUCLE … la fin , n’est pas le commencement… car l’évolution crée… de nouveaux états qui chacun contient TOUT...

 

Si on ose rencontrer le TEMPS… GRAND CONTENANT du Tout … alors TOUT est là … pour le jeu et la Joie de  l’ESPRIT…

 

CONCLUSION :

Je pensais avoir enfin bouclé ma Boucle !… je suis presque déçue de démontrer que c’est sans fin …

 

 

o   Les bonus ou conjectures

-Goldbach et la physique

La réciprocité perpendiculaire des boucles (ci-dessus) peut être vue comme réciprocité des ondes.

Nous connaissons la réciprocité perpendiculaire de la propagation des ondes électromagnétiques

La réciprocité perpendiculaire des boucles traduit celle des champs électrique et magnétique.

 

La double réciprocité perpendiculaire « réciprocité champs//ondes » est traduite par les équations de Maxwell et a pour modèle celle des nombres : «  réciprocité Espace//Temps » 

 

-Goldbach et la chimie

Remarque  : … !  Mes schémas m’amènent toujours plus loin que ce que j’en attends… ! :

Les coïncidences de lettres ne sont jamais fortuites, mais j’oserais dire se font dans une « magie » surprise que je  redécouvre toujours avec joie !

C’est ainsi que je vois une nouvelle représentation de l’atome d’Helium ( 2 protons et 2 neutrons), le lien se faisant par  les 2 électrons .

Il resterait à justifier la nature de réciprocité de l’électron dans ce lien physique …   mais «  la théorie de la réciprocité » le voit comme participant d’un quaternion-(unité de réciprocité)

Et , comme tout  Nombre est une vision de l’UN, unique et pair, tout atome est une vision du seul  atome He:  « L’atome d’helium est la complétude du quantum-matière »

 

 Le symbole de l’atome  apparait sur l’image 2 fois de plus (2P,2N)

Je risque l’hypothèse de cet « Helium du relatif absolu » :

La figure représente aussi le lien 3 du relatif absolu, par 3  atomes d’Helium

Complétude trine « atome d’He »

Cette complétude correspond à  3x (2N,2P) : 6 neutrons, 6 protons, 6 électrons : c’est la structure de l’atome de carbone

-L’importance de la chimie du carbone et de sa participation à la vie, font du carbone un élément remarquable dans le tableau de Mendeleïev

-On remarque aussi  6,6,6 : la théorie de la réciprocité insiste sur l’unité 6 (représentée par l’éclaireur)

Elle est parité de l’unité trine 3 du relatif-absolu et base de la construction des nombres twists ou premiers par sa dissociation paradoxale. (Ici l’unité 6 est elle-même trine)

Une autre interprétation du tableau de Mendeleïev deviendrait possible, mettant en évidence des propriétés particulières de certains atomes  plus « parfaitement réciproques »

Ainsi par exemple le carbone tétraédrique s’expliquerait aussi par la relation Matrice-Eclaireur (4-6) …

 

Voici donc, pour un long chapitre qui fait lien (qui manquait), pour relier tout… à… sa Cohérence-Beauté…

Inhérente au TOUT, la Beauté de Cohérence est mise en valeur par les relations de réciprocité et d’harmonie entre les parties …

 

Le secret  était détenu par les nombres premiers…

 

           Secret Premier